lundi 21 septembre 2015

L'Argent achète même les droits de l'Homme.

Selon les informations officielles de l’ONU, l’ambassadeur de l’Arabie saoudite à Genève Faisal Trad a été choisi pour présider le panel du Conseil des droits de l’Homme à partir de sa 30ème session qui ouvrira lundi 21 septembre. Selon les rumeurs, le choix avait déjà été décidé en juin dernier mais avait été tenu secret jusqu’au présent pour des raisons inconnues.

Les moutons enragés.

HuffingtonPost




 L' Arabie Saoudite est le pays qui applique la charia de la manière la plus rigoriste. Elle compose une sorte de constitution – dans le sens "loi suprême" –, mais cela pose problème car la charia n'est pas un corpus d'articles codifiés en vue de faire la loi. Ses prescriptions sont surtout morales, éthiques ou relèvent de la relation de l'homme à dieu. En Arabie saoudite, le mode de fonctionnement du droit et de la justice est semblable à ce qui existait avant le XIXe siècle : des individus sont formés aux sciences de l'islam et particulièrement au droit musulman, puis deviennent juges et sont saisis d'affaires d'ordre pénal et civil. Ils appliquent un droit qui relève de l'islam sunnite dans une version rigoriste, le wahhabisme. Les peines corporelles sont fréquemment appliquées.

Texte tiré du Nouvel Obs



L'Arabie Saoudite a executé plus de 100 personnes  depuis le début de cette année, c'est le pays ou proportionnellement on exécute le plus de personnes, en nombre absolu, derrière l'Iran et l'Irak, deux pays musulmans.

La Charia est rigoureusement appliquée en Arabie Saoudite, Charia qui condamne la femme adultère à la lapidation, Charia qui coupe les mains des voleurs, la Charia s'invite donc à l'honneur à l'ONU, non pour être combattue mais pour être défendue. Pauvres Droits de l'Homme.

Et cela dans un silence assourdissants, cachons ces nouvelles que nous ne devons pas savoir, les arabes sont nos amis, c'est Hollande qui l'a dit.






1 commentaire:

Anonyme a dit…

Un enfant demande à son père :

« Dis papa, quel est le secret pour être heureux ? »

Sans dire un mot, le père demande à son fils de le suivre. Ils sortent de la maison, le père sur le dos de leur vieil âne et le fils suivant à pied. Et les gens du village disent :

« Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d’aller à pied !"

« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison », dit le père.

Le lendemain ils sortent de nouveau. Le père ayant installé son fils sur l’âne et lui marchant à côté.

Les gens du village disent alors :

«Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied ! »

« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »

Le jour suivant, ils s’installent tous les deux sur l’âne avant de quitter la maison.

Les villageois commentèrent en disant :

« Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi ! »

« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »

Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l’âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :

« Voilà qu’ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant !

C’est le monde à l’envers ! »

« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »

De retour à la maison, le père dit à son fils :

« Tu me demandais l’autre jour le secret du bonheur.

Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu’un qui trouveras quelques choses à redire.

Fais ce qui te plaît et là tu seras vraiment heureux. »